Welcome to my website that serves as my portfolio ! My name is Louis-Guilhem Placenti and I'm an architect that does photography, rendering and write.

Louis-Guilhem Placenti

Un foncier parisien possible

Livret d’analyse

Carte interactive

Frise de droit comparé

Ce projet a pour objet l’étude du foncier public parisien. Pour ce faire, il prend le parti de partir de l’étude de trois termes : le foncier, la publicité (au sens Habermassien) et la communalité. Cette investigation conceptuelle est complétée par une étude du droit de propriété dans le temps et dans l’espace et une lecture matérialiste de la centralisation française. Le projet propose une analyse cartographique à l’échelle de Paris, complétée par une analyse photographique.

Ensuite, la partie projet vise à activer une vision architecturale portée par la fonction sociale de la propriété.

Iconographie du foncier

Ce travail a été réalisé grâce à un processus de web scraping et un tri manuel. L’objectif de ce travail est de proposer un catalogue visuel de ce que signifie la notion de foncier.

Communs

Ce travail met en lumière une recherche mondiale sur différents CPR (ressources communes) et la gestion collective de ces ressources.
L’objectif est d’observer les échelles auxquelles ces communs opèrent et de les comprendre à travers une vue orthographique.
Ils fonctionnent par paires et tentent de communiquer avec la section de l’exposition dédiée à la gestion des services publics (voir Services Publics).

Services publics

Cette partie de l’exposition présente l’évolution des services publics en France. Les frises chronologiques retracent l’évolution de la gestion publique des ressources. Leur nature publique est mise en perspective par la section dédiée aux Communs.

Centralisation

En exposant la nature administrative de la relation entre la capitale de la France et ses territoires métropolitains, l’objectif est de mieux comprendre l’essence même de la centralisation du pouvoir en France.
À l’extérieur, témoins d’un passé colonial, sont présentées des œuvres littéraires historiquement documentées sur les départements ultramarins. Cela met davantage en lumière le discours sur la nécessité d’une redistribution des fuites de capitaux passées, alimentant ainsi le questionnement sur la publicité du Paris public.

Inventaire

Ce travail représente 98 des 200 plus grandes parcelles publiques parisiennes.

Cartes du foncier public parisien

Cette carte est une représentation de 4 par 5 mètres du domaine public. Aux côtés d’une carte détaillée à l’échelle 1/5000 de la répartition foncière de Paris, une analyse statistique de la distribution des parcelles par nombre et surface est présentée. Trois cartes au 1/12 500 complètent ce travail. La première met en avant les plus grands détenteurs publics de biens immobiliers, la deuxième propose une version simplifiée de Paris divisée en hexagones de 150 mètres de côté. Enfin, une analyse des prix, en examinant à la fois le coût du mètre carré intérieur et celui du foncier.

Analyse photographique

La partie projet s’articule autour d’une analyse photographique menée sur 10 terrains. Ces terrains ont été choisis en fonction de la prédominance d’un groupe de propriétaire (ville de Paris, l’État, entreprises possédées par l’État, offices HLM, et enfin tissu privé). Le résultat présente superposé des photographies aériennes et le cadastre éclairé des données sur les groupes de propriétaire. Dessus, sont disposés les points de vue des photos qui sont disposées à côté.

Projet | Projects

Gisement de Bercy

La recherche sur les communs a relevé la nécéssité de la prise en compte des communs négatifs. Il s’agit de problématiques qu’il est nécessaire de prendre en compte dans la réflexion dans la prise en charge communale. Il s’agit de biens générant des externalités négatives. Dans une double volonté de soigner un lien ville-campagne ainsi qu’un lien nord-sud, les deux étant déséquilibrés en faveur des villes occidentales. Il s’agit dans ce projet de traiter la problématique des déchets en ville, en proposant une décharge ainsi que des lieux de recyclages dans le centre, ici dans l’ancienne gare auto de Paris Bercy. En traitant les déchets en centre-ville, la problématique des déchets est reconnue et gérée par celleux qui les consomment.

Communs des habitations

Ce projet ce centre autour des micros programmes au sein d’espaces déjà communs. Cependant, il s’agit ici de s’intéresser aux degrés d’appropriations possibles au sein de logements collectifs possédés par (ici) la ville de Paris via Paris Habitat. À travers l’exploration de 4 programmes différents, le projet a pour but d’imaginer un plus haut niveau de cohabitation en communalisant des programmes.

Douches

Chambre Froide

Atelier de rez-de-chaussé

Seuil partagé

Pavillon des négociations

Au centre de la notion de commun se trouve la notion de conflits. Pour assurer la bonne gestion des ressources dites communes, il faut développer un cadre propice à la résolution de conflit portant. Ce cadre théorique est développé extensivement par Ostrom et la pensée des communs.
Comme élaboré dans le livret, ce projet porte une grande attention à l’accumulation foncière et plus grandement au patrimoine public. Ce projet agit pour le rendre accessible et appropriable par tou∙s∙tes, et le rend compatible dans un paradigme du commun. Le choix s’est porté sur un des sites au centre de Paris au sein duquel se trouve le tribunal administratif dans l’hôtel d’Aumont. En résolvant les conflits inter-publics de la gestion du jardin en faisant partie, et en proposant une réelle continuité espace public / public, le projet se recentre autour d’un pavillon amphithéâtre répondant à la façade de l’hôtel.

Mémorial de la violence foncière

En prenant la fonction sociale de la propriété au sérieux, l’imagination des monuments métropolitain peut prendre l’échelle qui lui est due. Ainsi, nous pouvons imaginer des programmes qui correspondent à un projet de société. Ayant préalablement travaillé sur le sujet de la mémoire, je vous invite à engager une réflexion sur la mémoire de la première guerre mondiale, qui rythme les paysages français par les monuments aux morts. La quasi permanence spatiale de cette mémoire permet de la garder vivante.
La question qui nous intéresse ici est la permanence spatiale, le saut d’échelle et de l’abondance de foncier publique. Ce projet vise donc à légitimer une mémoire, celle de la violence foncière, en lui donnant une permanence, une échelle. Il vise à figurer à la vue de tou∙s∙tes, dans une échelle proportionnelle au renversement de valeur que cette mémoire entreprend au sein de la société.
Pour ce faire, le projet entreprend d’inaugurer un métro qui réactive une autre mémoire parisienne, celle de la petite ceinture. Des wagons libres d’accès permettent à quiconque de célébrer la mémoire d’un∙e proche victime de violence foncière.

Livret d’analyse

Carte interactive

Frise de droit comparé

Ce projet a pour objet l’étude du foncier public parisien. Pour ce faire, il prend le parti de partir de l’étude de trois termes : le foncier, la publicité (au sens Habermassien) et la communalité. Cette investigation conceptuelle est complétée par une étude du droit de propriété dans le temps et dans l’espace et une lecture matérialiste de la centralisation française. Le projet propose une analyse cartographique à l’échelle de Paris, complétée par une analyse photographique.

Ensuite, la partie projet vise à activer une vision architecturale portée par la fonction sociale de la propriété.

Iconographie du foncier

Ce travail a été réalisé grâce à un processus de web scraping et un tri manuel. L’objectif de ce travail est de proposer un catalogue visuel de ce que signifie la notion de foncier.

Communs

Ce travail met en lumière une recherche mondiale sur différents CPR (ressources communes) et la gestion collective de ces ressources.
L’objectif est d’observer les échelles auxquelles ces communs opèrent et de les comprendre à travers une vue orthographique.
Ils fonctionnent par paires et tentent de communiquer avec la section de l’exposition dédiée à la gestion des services publics (voir Services Publics).

Services publics

Cette partie de l’exposition présente l’évolution des services publics en France. Les frises chronologiques retracent l’évolution de la gestion publique des ressources. Leur nature publique est mise en perspective par la section dédiée aux Communs.

Centralisation

En exposant la nature administrative de la relation entre la capitale de la France et ses territoires métropolitains, l’objectif est de mieux comprendre l’essence même de la centralisation du pouvoir en France.
À l’extérieur, témoins d’un passé colonial, sont présentées des œuvres littéraires historiquement documentées sur les départements ultramarins. Cela met davantage en lumière le discours sur la nécessité d’une redistribution des fuites de capitaux passées, alimentant ainsi le questionnement sur la publicité du Paris public.

Inventaire

Ce travail représente 98 des 200 plus grandes parcelles publiques parisiennes.

Cartes du foncier public parisien

Cette carte est une représentation de 4 par 5 mètres du domaine public. Aux côtés d’une carte détaillée à l’échelle 1/5000 de la répartition foncière de Paris, une analyse statistique de la distribution des parcelles par nombre et surface est présentée. Trois cartes au 1/12 500 complètent ce travail. La première met en avant les plus grands détenteurs publics de biens immobiliers, la deuxième propose une version simplifiée de Paris divisée en hexagones de 150 mètres de côté. Enfin, une analyse des prix, en examinant à la fois le coût du mètre carré intérieur et celui du foncier.

Analyse photographique

La partie projet s’articule autour d’une analyse photographique menée sur 10 terrains. Ces terrains ont été choisis en fonction de la prédominance d’un groupe de propriétaire (ville de Paris, l’État, entreprises possédées par l’État, offices HLM, et enfin tissu privé). Le résultat présente superposé des photographies aériennes et le cadastre éclairé des données sur les groupes de propriétaire. Dessus, sont disposés les points de vue des photos qui sont disposées à côté.

Projet | Projects

Gisement de Bercy

La recherche sur les communs a relevé la nécéssité de la prise en compte des communs négatifs. Il s’agit de problématiques qu’il est nécessaire de prendre en compte dans la réflexion dans la prise en charge communale. Il s’agit de biens générant des externalités négatives. Dans une double volonté de soigner un lien ville-campagne ainsi qu’un lien nord-sud, les deux étant déséquilibrés en faveur des villes occidentales. Il s’agit dans ce projet de traiter la problématique des déchets en ville, en proposant une décharge ainsi que des lieux de recyclages dans le centre, ici dans l’ancienne gare auto de Paris Bercy. En traitant les déchets en centre-ville, la problématique des déchets est reconnue et gérée par celleux qui les consomment.

Communs des habitations

Ce projet ce centre autour des micros programmes au sein d’espaces déjà communs. Cependant, il s’agit ici de s’intéresser aux degrés d’appropriations possibles au sein de logements collectifs possédés par (ici) la ville de Paris via Paris Habitat. À travers l’exploration de 4 programmes différents, le projet a pour but d’imaginer un plus haut niveau de cohabitation en communalisant des programmes.

Douches

Chambre Froide

Atelier de rez-de-chaussé

Seuil partagé

Pavillon des négociations

Au centre de la notion de commun se trouve la notion de conflits. Pour assurer la bonne gestion des ressources dites communes, il faut développer un cadre propice à la résolution de conflit portant. Ce cadre théorique est développé extensivement par Ostrom et la pensée des communs.
Comme élaboré dans le livret, ce projet porte une grande attention à l’accumulation foncière et plus grandement au patrimoine public. Ce projet agit pour le rendre accessible et appropriable par tou∙s∙tes, et le rend compatible dans un paradigme du commun. Le choix s’est porté sur un des sites au centre de Paris au sein duquel se trouve le tribunal administratif dans l’hôtel d’Aumont. En résolvant les conflits inter-publics de la gestion du jardin en faisant partie, et en proposant une réelle continuité espace public / public, le projet se recentre autour d’un pavillon amphithéâtre répondant à la façade de l’hôtel.

Mémorial de la violence foncière

En prenant la fonction sociale de la propriété au sérieux, l’imagination des monuments métropolitain peut prendre l’échelle qui lui est due. Ainsi, nous pouvons imaginer des programmes qui correspondent à un projet de société. Ayant préalablement travaillé sur le sujet de la mémoire, je vous invite à engager une réflexion sur la mémoire de la première guerre mondiale, qui rythme les paysages français par les monuments aux morts. La quasi permanence spatiale de cette mémoire permet de la garder vivante.
La question qui nous intéresse ici est la permanence spatiale, le saut d’échelle et de l’abondance de foncier publique. Ce projet vise donc à légitimer une mémoire, celle de la violence foncière, en lui donnant une permanence, une échelle. Il vise à figurer à la vue de tou∙s∙tes, dans une échelle proportionnelle au renversement de valeur que cette mémoire entreprend au sein de la société.
Pour ce faire, le projet entreprend d’inaugurer un métro qui réactive une autre mémoire parisienne, celle de la petite ceinture. Des wagons libres d’accès permettent à quiconque de célébrer la mémoire d’un∙e proche victime de violence foncière.